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Welcome to the Inflight Magazine of Brussels Airlines
Javier Villaverde Sola, account manager in the Belux commercial department, talks about the challenges he’s overcome in the last 12 years, as well as those yet to come
“I started in the airline business just over 12 years ago, and my first job was in the call centre. Pretty soon I moved on to the commercial department, dealing with charters. It was different in those days – as it was a small airline everybody had to pretty much do everything from A-Z – planning, obtaining slots, negotiating traffic rights – even invoicing!
“At the time, the ad hoc flights were the most fun to organise. We would frequently have to put together one-off charters for football supporter trips, or for special VIP charters, for example. As the airline grew and took on more and more scheduled flights, I ended up running both the charter flights and the group department.
“Today I’m account manager for Belux for tour operators and leisure business – which is a sizeable chunk. I think the challenge for all of us in the company now is to put Brussels Airlines on the map in terms of its two new products, b. flex and b.light – my focus is, of course, b.light.
“But I think communicating the new brand is also a substantial challenge – and one that we’re determined to succeed in. In fact we’ve a double challenge there: communicating the new brand and the new product at the same time. From my point of view in sales, the concept has been well accepted by the market, and we do feel that we’re setting a market trend with this innovation, rather than following one.
“Personally of course, I’m absolutely passionate about my work and being born Spanish may have something to do with that. But seriously, once you’re in the travel business you’re addicted to it – every day is a new challenge and I don’t think I’d want it any other way.”
Javier Villaverde Sola, account manager dans le département commercial du Belux, nous parle des nombreux défis qu’il a relevés au cours de ces douze dernières années, sans oublier ceux à venir…
“J’ai commencé à travailler dans le secteur aéronautique, il y a de cela un peu plus de 12 ans, mon premier poste était dans le call centre. Très rapidement, je me suis dirigé vers le département commercial, et plus précisément tout ce qui touchait aux charters. C’était différent à cette époque. Comme c’était une petite compagnie, tout le monde devait s’occuper de tout de A à Z… le planning, l’obtention des slots, la négociation des droits de trafic – et même la facturation!
“A ce moment-là, ce qui était le plus amusant à organiser étaient les vols ad hoc… très souvent, nous devions affréter des vols spéciaux charters pour les déplacements de supporters d’une équipe de football ou pour des VIP par exemple. Au fur et à mesure du développement de la compagnie, l’organisation des vols s’est de plus en plus structurée, et j’ai n’ai donc plus pu suivre à la fois les vols charter et la gestion du département.
“Aujourd’hui je suis account manager pour le Belux, pour les tour-opérateurs et le business du tourisme – une niche de marché bien délimitée. Je pense que le nouveau défiqui se présente à nous tous à l’heure actuelle, consiste à mettre en avant la notoriété de la compagnie Brussels Airlines à travers ses deux produits d’appel, b.flex and b.light – ma priorité étant, bien entendu, b.light.
“Mais arriver à imposer une nouvelle image de marque représente aussi un sérieux défi– et sur ce point-là, nous sommes déterminés à réussir. En fait, l’enjeu est double : communiquer à la fois la nouvelle marque et le nouveau produit. De mon propre point de vue dans le secteur des ventes, le concept a été bien accepté par le marché, et avec cette innovation, nous avons le sentiment d’avoir été les précurseurs d’une tendance, plutôt que des suiveurs.
“Personnellement, je suis complètement passionné par mon travail – et le fait d’être né Espagnol y est sans doute pour quelque chose… Il faut quand même préciser qu’une fois que l’on est dans le secteur du voyage, on s’en défait difficilement – chaque jour est un nouveau défiet je ne voudrais pas qu’il en soit autrement. “